L’adoration doit correspondre à la législation dans son genre
Prenons l’exemple de l’immolation d’un cheval (pour le jour du sacrifice qui est Al’îd-al-Adhâ). En effet, si une personne venait à sacrifier un cheval (ce jour-là), alors cela serait en opposition à la législation dans son genre[1].
[1] En effet, le jour du sacrifice, il faut que l’offrande fasse partie exclusivement de la famille des ovins, bovins ou des camélidés. Ainsi, le cheval faisant partie de la famille des équidés n’est pas le genre d’animal correspondant à cette adoration. (NdT)